Photo du jour 15062023
dim 18 Juin 2023
Mon jardin
mar 4 Avr 2023
Je suis amoureux de ce jardin Où les arbres s'appellent Rémi, Léo, Can Où la plus belle des roses s'appelle...
Retrouver
Je vais retrouver les mots…pour Nous…
Survivre
Survivre a nouveau aux dernières feuilles, alors je les piétine et je les aime aussi…
Ma plume
Chaque matin où le sang de ma plume fait battre ton coeur d’orange…
Le printemps
Le printemps sait l’été pour une raison sensuelle…
A l’aube
A l’aube grise,
le vent est une rose
qui souffle ton nom…
MMM
Ma femme,
Mes fils,
Ma poésie…
Cachette
Pour ne pas me perdre, je préfère m’éclipser derrière Vénus…
Naviguer
Vivre en naviguant sur cette femme, fleuve indomptable
Ronde et bleue
Tu es ronde et bleue…comme ma Terre…
Tatoué
Je me suis tatoué une fleur au fond de la gorge pour ne pas oublier la douceur de ta langue…
Emirelo…Entre le gris et le bleu des mots…
Asli
A se manquer
Soleil fleur
Loin de Nous
Il brille encore…
Asli
A toi
Sur le bleu
L’amour
Infini.
Asli
Au Nord de Nous
Sous la neige bleue
Le cœur d’un Amour
Immense…
Asli
Aimons Nous,
Simplement,
Langoureusement,
Infiniment.
Asli
Aujourd’hui
Sur ton cœur
L’amour bleu
Infini…
Asli
Askim
Seni Seviyoroum
L’Amour
International.
Asli
A la racine de tes cheveux
Se découvrent mes baisers bleus
Langoureux de mon coeur assoiffé
Ils frissonnent à jamais de t’aimer
Asli
Amour au
Soleil bleu
La vie
Infiniment heureuse…
Asli
Avec ce présent que je te confie,
Si l’anneau est le secret de ta vie avec moi,
Le long de tes doigts, il la prolongera d’infini.
Il est de notre couleur, unique pour toi…
Asli
Assoiffons Nous de bonheur
Simple et bleu
L’avenir est courbe
Il est temps encore…
Musem
par Emirelo | 29 août 2009 | En poésie | 0 Commentaires
Tu me manques mon amour…Mais le vent siffle fort pour me rappeler que bientôt tu vas revenir dans mon ciel.
Je n’ai pas menti à l’enfant. Tu es l’étoile devenue Muse…
Pour que de mes mots je raconte l’inaccessible…
Pour que de mes doigts je caresse la peau de tes contrées…
Mon être tremble de ce temps qui nous sépare, mais tu veilles en moi Musem, alors je te regarde dans mon cœur.
Je nous vois…
Je nous aime…
Je t’aime…
Je te vois…
Oh mon amour…
Un soleil bleu nous réunirait pour toujours et je me crèverais les yeux juste pour le deviner dans la nuit éternelle…
Ensuite, un seul de tes sourires me redonnerait vue…
Tu es Musem, l’unique attente…
Le baume sensuel de mon cœur perdu…sans toi, sans nous…
Petite fille au jardin Strahov
par Emirelo | 15 octobre 2005 | En poésie | 0 Commentaires
Les arbres bercent
En écho les clochers.
Un nostalgique réveil
Carillonnent à nos lèvres,
La douceur du vent
Le frisson d’un instant
Le miel des oiseaux.
Au loin, l’eau frissonnante
Dessine les toits
Des tons pastels de son regard.
Sous le ruban bleu,
La fillette fleurie parfume la vie.
Prague 2004
#NiceAttentat
Toi ma muse
par Emirelo | 25 septembre 2005 | En poésie | 0 Commentaires
J’ai un terrible envie. De toi bien sur, l’obsession se calmera peut-être sous les brûlures de ton sourire.
Mais face au lointain voyage, je me sucre de simplicité, de bouches au caramel. Oui je suis un gourmand en attente.
Encore quelques secondes, ne raccroche pas joli rêve, j’ai tant de mots en nous, retiens moi et je me lâche. Le filet c’est ton corps que j’écris.
« Tu es un soleil un peu vert au fond, et là si doux sur ton ventre, le vent et l’écho se soupirent pour te faire mûrir. D’une course bleue, je rejoins enfin l’étoile. A l’intérieur, tout est calme, si je vis c’est de ton cœur, je n’ai plus à respirer, tu coules dans mes veines. Insatiable, je te trouve ainsi fontaine en survie, lèvres ouvertes aux sentiments.
Je tourne tes cheveux attachés, l’enclume est ronde, elle plonge en moi, soudain, il fait sombre mais la lueur rassure…Ta voix est dans ma bouche, je colle mes yeux aux tiens…j’étouffe…fusion…explosion…Finalement nous sommes et nous serons. »
J’ai tellement envie de toi, tu le sais, tu le sens. Si je te croise, je me demande juste si je te reconnaîtrais.
Je pourrais
par Emirelo | 15 novembre 2009 | En poésie | 1 Commentaire
Ne suis je qu’un refuge lors de la tempête, puis le phare rassurant au lointain ?
Je ne peux n’être que cela. Que ces choses, que tu trouverais dans les ailleurs, muse.
Alors, je pourrais être la voix du vent, même le plus froid sur ta peau, et la pluie sur tes joues, même si tu t’en protèges.
Et surtout, je pourrais être l’unique souffle d’un cœur bleui par ton ombre, loin de ce phare blême, au plus proche de ton âme.
Si tu me devenais…
Tant qu’il y aura du bleu (sur un thème de Léo)
par Emirelo | 9 mai 2020 | En poésie | 1 Commentaire
Tant qu’il y aura du bleu
Dans l’ombre des montagnes de lune,
Dans les rires des enfants fleurs,
Dans les arbres nés de l’orage,
Dans les dix-huit mètres de la reine fourmi,
Dans le frisson d’un regard de nuit,
Dans la première rose du printemps,
Dans les nuages qui s’enlacent,
Dans les étoiles de nos frères,
Dans les poumons de l’arbre du jardin.
Dans le sable de tes yeux nus,
Dans l’herbe de ta chevelure,
Dans le miel de ton sourire,
Dans l’arrondi de tes planètes,
Dans le rouge de ton souffle,
Dans le secret des tes hanches
Dans les papillons sur ta vie,
Dans l’harmonie de ton plaisir
Dans tes mains d’infini.
Tant qu’il y aura du bleu…
Dans le coeur de nos fils…
Inspiré par un morceau de mon fils Léo…
Sombrer
par Emirelo | 19 octobre 2009 | En poésie | 0 Commentaires
Au large des maux, l’immense solitude. Et dans l’absence des doigts, n’existe plus que la couleur du froid, unique et poignante dans cette poitrine enfoncée de côtes perdues…
Sous le nous parfait, se recueillent les cendres encore tièdes de mes poésies aliénées par l’envie, témoignages de cet amour au futur qui s’enfuit…
Le plafond se fixe à mes yeux, se rapproche inexorablement de ma bouche, ce gout de poussière m’est bien connu…
Je lui parle alors, de ces mots que l’on ne sait pas dire, de ces mots que l’on ne sait pas lire, de ces mots que je n’ai pas su écrire…
Et l’on se prend à croire en lui, à se damner comme ils disent, oui juste encore un moment…
Pour que la fleur de vie revienne, pour qu’elle bourgeonne sur ce corps atrophié d’un cœur, pour que la boite reste entrouverte, le temps d’un ultime sourire…
Je prononce une dernière fois ton nom.
Perpétuels
Il est de ces jours perpétuels,
Ta somptueuse bouche
une neige éternelle
devenue essentielle…

Petite fille au jardin Strahov
Les petits mots d’Emirelo #1 : Autour de l’Ailleurs…
De ton visage
Du contour troublé,
les lignes cheveux noirs
mènent au centre
courbé d’un sourire…
Délire radiophonique
Pour ma femme
Je pourrais
Ne suis je qu’un refuge lors de la tempête, puis le phare rassurant au lointain ?
Je ne peux n’être que cela. Que ces choses, que tu trouverais dans les ailleurs, muse…
Photo du jour 15062023
Juin 18, 2023